Singularités, le jeu de rôle
Economie & politiqueLe monde en 2202

Les partis politique de Futur Immédiat

Alors, ceci est un premier jet, vu que moi et la politique, on a à peu près autant de points communs que le foot et la plongée en apnée. Mais dans un univers qui mêle enquêtes paranormales, affaires d’états et de consortiums, menaces terroristes et complots politiques et militaires, faut aborder le sujet de la politique.

Et il faut donc commencer par : à quoi cela ressemble, les partis politiques au 23ème siècle ? Alors, bien sûr, il y a des petées de mouvements politiques, chaque état du monde a ses formations, ses noms, ses leaders. Mais l’UNE représentant en quelque sorte l’arène où tous ces mouvements se retrouvent et se rencontrent, c’est dans l’assemblée de l’UNE que se forment les principaux partis politiques transnationaux.

Au sujet de l’UNE, ses mouvements les plus influents sont les fédéralistes écosociaux et radicaux démocrates et les libéraux keynésiens et républicains. La politique de l’UNE est, quant à elle, clairement fédéraliste sociale, à forte tendance humaniste. Mais l’assemblée accepte tous les partis, à une condition : les états dont ces membres politiques sont des représentants doivent avoir tous signés et mis en application la Charte Universelles des Droits de l’Humain. Ainsi, même les représentants des partis aux idées les plus extrémistes sont quelque peu forcés de mettre de l’eau dans leur vin ; tout est donc affaire de compromis entre les lois de l’UNE et leurs idées.

Voici donc les principaux mouvements politiques présent à l’UNE et qu’on retrouve comme courants politique sur Terre, y compris bien sûr dans les états non-membres.

Les fédéralistes :

– Les internationalistes : héritiers des mouvements communistes et marxistes, qui revendique que les moyens de productions appartiennent en premier lieu aux ouvriers qui produisent et rejettent l’idée de classes sociales

– Les info-socialistes : une forme de socialisme radical, assez proche du marxisme, qui revendique que la culture, l’information et le savoir ne peuvent être ni secrets, ni déposés et doivent appartenir librement au peuple, garant de la politique.

– Les écosociaux : mouvement à tendance socialiste prônant une organisation d’état soucieuse autant de l’environnement que de l’humain qui y vit, au bénéfice d’une égalité sociale, en usant de préférence d’une démocratie directe.

– Les radicaux démocrates : courants politiques fédéralistes et régionalistes qui prônent un équilibre entre organisation économique et sociale étatisée et libéralisme économique raisonnable, au profit de l’égalité sociale.

Les libéraux :

– Les keynésiens : courant hérité d’une école de pensée économique, il s’agit de mouvements politiques prônant un libéralisme raisonnée et modérée par l’influence et l’autorité de l’état, qui doit disposer des outils et du pouvoir nécessaire pour jouer son rôle de modérateur.

– Les républicains : mouvement de centralisation politique prônant une organisation présidentielle forte, opposée au fédéralisme et au régionalisme, s’appuyant sur une économie capitaliste peu contrainte par le pouvoir d’état.

– Les néo-capitalistes : il s’agit de la version moderne du néolibéralisme du 21ème siècle. Le mouvement serait considéré comme d’aspect bien plus social que le modèle de son ancêtre, mais place l’économie et la propriété libérées des contraintes d’état au-dessus de toute autre préoccupation.

– Les libertariens : mouvement qui prône la liberté individuelle au-dessus de tout autre considération et, principalement, le droit à la propriété. C’est du capitalisme antiétatique poussé à l’extrême, qui rejette le rôle de l’état à sa portion la plus congrue possible.

Les souverainistes :

– Les nationalistes : mouvement conservateur prônant un état-nation fort, une préférence nationale légale et un sentiment d’appartenance nationale exalté. Le mouvement est notoirement anti-fédéraliste et en général anticapitaliste et compte des tendances fascistes et totalitaristes diverses.

– Les militaristes : mouvement assez fédéraliste, mais particulièrement orienté sur une politique de militarisation globale de la terre et un gouvernement global centralisé fort. Il compte des courants républicains et quelques autres nationalistes, voire carrément totalitaires.

– Les néo-humanistes : nationalisme raciste et xénophobe, qui rejette prioritairement l’inclusion des autres espèces sentiantes à l’espèce humaine à égalité, principalement les bioïdes, considérés comme un danger pour homo sapiens.

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